• Old sound and Revival

    Qui n'a pas sa petite madeleine de Proust musicale, cette petite chanson qui rappelle quelque chose ?

    La nostalgie est ce qu'elle est, comme un retour vers la jeunesse avec des sons qui, contrairement à nous, n'ont pas pris une ride... ou presque pas.
    Pour tous les âges, voyage dans le temps post WW2.

     

  • Marilyn Monroe #1Le mythe absolu, le fantasme de générations entières de mâles et de femmes aussi, la star dans sa plus pure définition : Marilyn Monroe.

    Hors de son physique entièrement fabriqué par Hollywood, elle fut une actrice à qui on offrit peu d'occasion d'exprimer son réel talent, à l'exception de The Misfits (Les Désaxés), la cantonnant le plus souvent à des rôles de "blonde".
    Mais il est un autre talent de Marilyn qui est souvent oublié, son talent de chanteuse. Elle commencera à pousser la chansonnette dans le film Les reines du music-hall (Every babby needs a Da-Da Daddy) puis enchaînera les succès au cours de sa filmographie. Elle travaillera son chant et on découvre une chanteuse à la voix chaude et juste. Elle chantera entre autres avec Nat King Cole et Miles Davis

     

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  • Swing avec Glenn MillerPour ceux qui aiment les documentaires historiques sur la deuxième guerre sans jamais avoir eu le moindre intérêt pour le jazz, le "son" Glenn Miller est associé à Pearl Harbour, la Libération et autres grands moments de l'histoire militaire US et ce sont est reconnaissable entre tous.

    Né en 1904, c'est 'âge de 11 ans qu'il se prend de passion pour le trombone.
    Avec son orchestre Glenn Miller Army Air Force band, le capitaine Glenn Miller donnera plus de 800 concerts pour le moral des troupes. Basé à Londres en 1944, il embarque le 15 décembre pour une série de concerts dans la France libérée mais le petit avion disparaîtra au dessus de la Manche.

    Il laisse à la postérité des titres désormais mythiques tels que In the Mood ou encore Moonlight serenade.

     

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  • The days of pearlySpencer D. Mc WilliamsUn nom, un tube et un souvenir personnel douloureux font que ce titre sera éternel en mon cœur, marquant le 1er novembre d'une pierre noire.

    Le jeune chanteur irlandais David McWilliams est un illustre inconnu quand il présente sa chanson à la BBC. La radio anglaise refuse le titre, arguant qu'elle est trop diffusée sur Radio Caroline, radio pirate. Avant même d'avoir commencé, la carrière du chanteur semble devoir s'arrêter là malgré la campagne de pub de sa maison de disque.

    Mais à Paris, le producteur-animateur Gérard Klein reçoit le 45 tours.

    Pour ceux qui n'ont pas connu cette époque, la face A présentait la chanson phare et la face B des chansons secondaires, bouche-trou de ce type de produit.
    Gérard Klein ne s'arrête pas au titre principal Harlem Lady et passe à la face B, The days of Pearly Spencer. Coup de foudre et France Inter sera la première radio à la diffuser.

    Le succès est immédiat et la jeunesse de l'époque fait un triomphe à la chanson qui passera en boucle dans les juke box. The Days of Pearly Spencer devient un tube dans toute l'Europe et aux USA... mais pas en Grande Bretagne.

    Bien que David McWilliams ait enregistré 3 albums, et après sa mort en 2002, la postérité ne retiendra que ce titre, très sombre  (se rappeler la situation politique de l'Irlande en 1967).

    Paroles et traduction.

     

     


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  • Les PLATTERS Best ofEn 2012 Herb Reed, dernier membre survivant des Platters, s'éteignait mais le son des Platters lui survivra.

    Formé en 1952 à Los Angeles, le groupe de doo wop connait une carrière à la fois plutôt brève et également chaotique.
    Lors de leur première séance d'enregistrement, les Platters proposent un titre Only You, qui sera retoqué car jugé... mauvais. Ils enchaîneront quelques 45 tours mais leur carrière ne décolle pas : quand ça veut pas, ça veut pas !
    En 1954 une femme rejoint le groupe, Zola Taylor mais Alex Hodge s'en va, arrêté pour possession de marijuana, remplacé par Paul Robi. La formation se stabilise enfin et en avril 1955, les Platters reprennent l'enregistrement de... Only You. A sa sortie en mai, le titre devient un tube et se positionne à la tête des charts rytm'n blues.
    En 1956 c'est l'apothéose avec le titre The Great Pretender dont le succès surpasse celui d'Only you.
    De 1956 à 1960, le groupe enchaîne succès et tournées avec leur nouveau pianiste Ruppert Z. Branker qui sera assassiné en 1961. Leur ultime succès sera Harbour Lights, mais celles du groupe sont en passe de s'éteindre...

     

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  • Quel étrange phénomène !

    Alors que la France va entrer dans sa troisième semaine de confinement, nombreux sont ceux qui [re]découvrent le besoin du "lien direct", mesurant (enfin !) la limite des réseaux sociaux.

    Ce foutu virus nous réapprendra-t-il combien on peut être heureux ensemble ?

    So happy together ! ♫

     

     


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  • Micron 1er (non, il n'y a pas de fautes de frappe !) nous l'a dit et répété "Nous sommes en guerre !" !

    Voici un petit clin d'œil pour rappeler que depuis que les guerres existent, les femmes ont toujours été là pour aider à les gagner !
    Sans parler de notre héroïsme quotidien et silencieux pour nous battre contre les soucis de la vie !

    Y a pas, nous sommes les plus fortes !

    Malgré une bande son qui a son âge, j'ai choisi cette vidéo originale (1941/43) qui, malgré son contexte, file la pêche.

     


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