• A tous ceux qui soignent.

    A tous ceux qui derrière leur transpal, leur caisse, leur camion poubelle, leur volant, nous assurent une vie presque normale pour des salaires de misère tandis que les citoyens de la start-up nation dont on s'est passé pendant 20 siècles gémissent sur leur stock options et leurs conditions de télé-travail.

    A tous ceux qui à la mesure de leurs moyens offrent un sourire, de la sympathie, de l'humanité.

    A tous ceux qui demain se battront pour que les erreurs d'hier qui ont conduit au désastre d'aujourd'hui ne se reproduisent pas (là, y a du boulot pour tout le monde !).

    Dédicace.

     


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  • En ces jours de confinement, coincés entre l'angoisse pour ceux qui ne sont pas près de nous et des dérogations de sortie pour juste faire face au besoins du quotidien, nous rêvons...

    Nous rêvons d'espace, de grands espaces.
    Nous rêvons de pouvoir à nouveau serrer dans nos bras ceux que nous aimons. On est même prêt à serrer dans nos bras ceux à qui hier on voulait coller des baffes ! C'est dire si on se fait chier !

    Alors le temps d'enfourcher un des symboles de liberté, la mythique Harley, direction les grandes plaines américaines pour une chevauchée en toute liberté !

     


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  • Écrite en 15 minutes dans la baignoire d'une chambre d’hôtel et initialement interprétée par Robert Hazard, Girls just want to have fun n'a pas vraiment emballé Cyndi Lauper quand il la lui proposa : trop mysogine à son goût.

    La pétulante chanteuse américaine accepta finalement de l'interpréter à condition toutefois d'y apporter des modifications plus "féministes". Les arrangements (la plage de claviers antre autres) aboutissent à un son pop/new wave teinté de rock.
    Elle imposa à Epic Records d'en faire le premier single de son nouvel album She's so Unusual (1983 ) au lieu de Time after Time initialement prévu par le label.

    Dans son clip Cyndi Lauper intégrera des éléments de sa vie dans le Queens (NY) et invitera des amis et des drag queens.

     


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  • Si vous étiez enfant ou ado en 1975 et que vos parents regardaient Antenne 2 (aujourd'hui France 2), vous avez très certainement découvert ce clip que la chaîne diffusait très aléatoirement pour faire patienter les téléspectateurs pendant ces "incidents techniques indépendants de [leur] volonté".
    Ces diffusions très aléatoires firent le buzz car d'aucun guettait pour enfin pouvoir l'enregistrer.

    Sorti en 1974 ce petit court-métrage  a tout pour séduire : animaux chantant et dansant, couleurs vives et paysages champêtres et bien sûr un thème universel : l'amour. Le tout sur un rythme rock et le succès est au rendez-vous.

    Mais savez-vous quels musiciens se cachent derrière ce tube ?

    The Butterfly Ball and the Grasshoper's Feast est en fait un album-concept produit par Roger Glover, le bassiste du mythique groupe Deep Purple qui réunit des musiciens d'horizons divers dont Glenn Hughes qui succéda à Roger Glover en rejoignant Deep Purple et Dave Coverdale qui fut également membre de Deep Purple mais connu pour être le chanteur de Withesnake.
    Et au chant, on retrouve un autre musicien-chanteur tout aussi mythique, ex membre de Black Sabbath qui fonda son propre groupe Dio, le sympathique Ronnie James Dio.

    Comme quoi le heavy metal mène à tout sans en sortir !  Love is all - Roger Glover

    Version live 1999 par ses auteurs.

     


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  • Au firmament de la musique il y a ceux qu'on appelle les "étoiles filantes", trois petits tubes oubliés l'année suivante et puis s'en vont, et d'autres qui font une carrière à peine plus longue mais qui laissent une empreinte durable au point qu'un demi-siècle plus tard on reconnait un riff (indémodable) et des tubes marquants.

    C'est le cas des Creedence Clearwater Revival, connus également sous leur acronyme CCR ou sous le nom Les Creedence.

    Une longue période de gestation à se chercher, quatre années en apothéose ont suffi pour les Creedence laissent leur héritage au rock

    Creedence Clearwater Revival

     

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  • Queen la face cachéeEn mai de cette année on fêtait le jubilé d'un des plus grands groupes britanniques : QUEEN.

    1968. La jeunesse est remuante, voire très agitée et dans une recherche de renouvellement face à une société ronronnante et bourgeoise. La musique entre dans une phase créative toute aussi agitée.
    A l'Imperial College de Londres un jeune étudiant en physique, Brian May, placarde une annonce pour recruter d'autres étudiants afin de monter un groupe.
    Tim Staffell, bassiste et chanteur, puis Roger Taylor, batteur, rejoignent Brian pour fonder le groupe Smile.

    L'année suivante, le label américain Mercury signe Smile "à l'essai". Smile sort une chanson écrite par Tim Staffell : un flop ! Mercury ne transformera pas l'essai.

    1970. Tim Staffell quitte Smile mais il persuade un jeune étudiant en arts graphiques, un certain Freddie Bulsara, alias Farrokh, de le remplacer au chant. Demeurant à Feltham, il s'avère que Freddie et Brian habitent à quelques maisons l'un de l'autre. A noter que sur cette période les versions diffèrent quant à savoir qui a recruté l'autre mais ainsi se bâtissent les légendes.
    Cette même année, en novembre, Freddie Bulsara se rebaptise Freddie Mercury et dans la foulée il rebaptise le groupe qui devient Queen.

    1971. Depuis le départ de Tim Staffell le groupe n'a plus de bassiste attitré. C'est encore sur annonce qu'un bassiste nommé John Richard Deacon est recruté. La formation est au complet et ne changera plus, établissant un record de stabilité dans le monde du rock.

     

    Queen la face cachée

     

     

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