• Oseré-je dire que c'est un des "tubes" de Guiseppe Verdi ?
    Hé bien oui ! J'ose !

    Mettre du classique dans cette rubrique1 ne m'était pas venue à l'idée mais en tombant sur ce flashmob j'ai ressenti un tel bonheur qu'il eût été fort égoïste de ma part de ne pas le partager !

    D'abord le bonheur de voir le classique sortir de son carcan intello-élitiste en venant au milieu d'un public inhabituel.
    Puis le bonheur d'une interprétation de qualité pleine de naturel de fraîcheur et de spontanéité.
    Enfin le bonheur de voir la joie et les sourires sur le visage des gens... ça n'a pas de prix !

    J'ai tellement craqué sur cette version de Libiamo ne' lieti calici que j'ai applaudi à tout rompre !

     

     Note 1 : ce billet fut publié pendant le premier grand confinement mondial dans la rubrique "Spécial Covid", créée pour soutenir le moral du groupe et des visiteurs de ce blog.

     


    13 commentaires
  • Antonio Vivaldi, la star incontestée de la musique baroque, avait-il imaginé qu'en écrivant la partition de Le quattro stagioni vers les années 1720, il était en train d'écrire un des plus grands tubes de l'histoire de la musique ? Probablement pas.

    Depuis la première interprétation des Quatre Saisons en 1726 cette œuvre fit tout d'abord le tour de l'Europe puis le tour du monde. A l'ère technologique le succès est toujours au rendez-vous.

    L'Été (Concerto no 2 en sol mineur, op. 8, RV 315), entre la torpeur de la chaleur qu'accompagnent les bourdonnements d'insectes, et les caprices violents de l'orage est ici interprété par la soliste Agnieszka Uścińska sous la direction de Andrzej Kucybała (Pologne).
    J'avoue apprécier énormément cette interprétation à la fois puissante et pourtant aérée où tous les instruments (dont le clavecin) sont présents.

     


    2 commentaires
  • Septième des huit mouvements de la Suite pour orchestre de variété op. 50b, de Dimitri Chostakovitch, la valse n°2 ou Sérénade valse de Chostakovitch est probablement le plus célèbre morceau du compositeur russe auprès du grand public.

    Initialement composée pour le film Le premier échelon de Mikhail Kalatozov en 1956, elle sera jouée pour la première fois en Europe à Londres par l'orchestre symphonique de Mstislav Rostropovitch.
    En France elle sera popularisée en 1993 par un célèbre spot publicitaire qui en fait son fil rouge  musical.

     

     


    6 commentaires
  • Heu... Pixélie ! - Ouiii ? - Tu as fait une erreur. - Ah ? Où ça ? - Sur le titre. Ce n'est pas Leopold, c'est Wolfgang le prénom de Mozart. - Et son père, y compte pour du beurre ?!

    Leopold MozartPour être parfaitement sincère, j'aurais très probablement fait le même commentaire si j'étais tombée sur cet intitulé ! Car comme beaucoup j'ai la culture au ras de la clôture et j'ai tendance à ne pas lever les yeux jusqu'aux branches de l'arbre généalogique.

    Grâce au blog de Lydia, une mine de connaissance et de découvertes j'ai découvert une chose incroyable : Wolfgang Amadeus Mozart avait un père !

    Oh ! Moquez-vous mais, à moins d'être amateur de musique classique, avez-vous jamais eu une pensée pour le paternel du génie ?

     

    Leopold Mozart, clin d'œil

     

    Lire la suite...


    7 commentaires
  • Fondée en 1979, la formation RONDO VENEZIANO est devenue une institution musicale non seulement en Italie mais à travers le monde avec environ 25 millions d'album vendus !

    Si à ses débuts Rondo Veneziano était clairement étiqueté classique baroque, les compositions se sont depuis considérablement modernisées en se teintant de pop rock, au point que certains critiques musicaux parlent "d'impressionnisme musical".

    Cette année, covid oblige, les touristes ne seront pas là, aussi nombreux mais le Carnaval de Venise a lieu.
    Un peu de nostalgie et beaucoup de gaîté pour découvrir Venise en fête.

     

     


    4 commentaires
  • Dédicace à Florence Marquise

    Ce Duetto buffo di due gatti (Duo humoristique de deux chats) est attribué à Rossini mais il semblerait que la paternité en incombât à un compositeur anglais qui signa cette pièce du nom de G. Berthold, alias Robert Lucas de Pearsall. Ce morceau serait l'assemblage de morceaux piochés dans l'œuvre de Rossini.

    Cette pièce légère est toujours accueillie avec joie tant elle est effectivement humoristique.
    De nombreuses soprani s'y sont attelées et il me fut bien difficile de sélectionner une version.

    Étant donné la personne à qui est dédié ce morceau, j'aurais pu choisir la version de Tarja Turunen, soprano chanteuse de rock et de metal sympho.
    C'est finalement l'interprétation de Polina Gagarina, la blonde qui officie dans la pop, et Valeria Zaitseva, soprano contralto, que j'ai finalement choisie pour sa drôlerie. Elles me rappellent tellement les sempiternelles disputes entre mes chattes Lisa et Plume que c'en est troublant !

     

     


    8 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique