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Jeff Goldblum en scène
Il y a un an je consacrais un article au grand Jeff Goldblum (à tous les sens du terme) et à son talent de pianiste de jazz.
Je vous invite à vingt minutes de pur bonheur scénique, entre jazz et stand up qui rend le jazz gai et sympathique !
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Commentaires
Etant souvent à la recherche d'infos sur le jazz, le swing et le blues pour mon blog des crooners (ICI), c'est assez récemment que j'ai découvert ces talents de jazzman. C'est beaucoup plus répandu en Amérique qu'en France ou en Belgique, ces artistes qui ont pratiquement tous les talents. Chez nous, nous avons trop tendance à trop les compartimenter. Du coup, ils sont "prisonniers" de leur image... comme l'était Henri Salvador qui préférait nettement son image de crooner que d'amuseur et c'est seulement à la fin de sa vie qu'il s'est fait plaisir avec l'album "Chambre avec vue", mais il n'avait plus rien à prouver... Au cas où tu ne le verrais pas ? J'ai répondu à ton commentaire sur Montgomery Clift.
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Samedi 4 Septembre 2021 à 22:04
Quand on fait un grand bon dans le passé, en France il y eut une période où on mélangeait davantage les genres.
J'en veux pour exemple Arletty (dans son registre vocal particulier), Chevalier, Fernandel ou même Gabin et Piaf et moins loin de nous Montand qui en plus dansait. On les connait autant pour leur talent de chanteurs que d'acteurs.Je pense que c'est culturel.
L'Amérique est une jeune nation, ambitieuse qui a un esprit très hégémonique d'une part et qui se dote de tous les moyens pour être la meilleure partout. Et ils ont du compenser un manque d'histoire culturelle propre en développant un modèle différent de celui du vieux continent qui a eu tendance à s'endormir sur les traditions.
Les écoles américaines ont développé un enseignement pluridisciplinaire, ce que nous n'avons pas su faire.Par contre, je ne sais pas ce que tu en penses, mais je trouve que le XXIème siècle n'a pas "produit" de talents d'excellence tels Judy Garland et sa fille Liza Minnelli, des Sinatra père et fille, ou des Barbara Streisand. Dans les nouveaux artistes américains, je n'en vois pas qui puissent accéder réellement au statut de star tel qu'au XXème siècle.
On produit des artistes "bankables", interchangeables et éphémères. Les "people" ont remplacé les "stars".Serais-je un brin passéiste ? J'assume !
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