• La magie du flashmob c'est de réunir, faire participer dans la joie et sans complexe les passants et générer de la joie collective.

    Images d'avant le Covid, ce flashmob ado tourné en Hollande rappelle que le vivre-ensemble et le rire-ensemble ne doivent pas être abrogés par la psychose massive inoculée jour après jour pour nous habituer au confinement moral.

     


    2 commentaires
  • Une chose est sûre : le covid 19 n'atteint pas le cerveau (les politiques n'auront pas cette excuse !).

    Sur la Toile les initiatives artistiques fleurissent, souvent de qualité, toujours émouvantes.

    Aujourd'hui je vous présente une initiative de nos amis Belges, dont on parle peu mais qui souffrent discrètement.

     


    1 commentaire
  • La Llorna est un chant traditionnel mexicain dont l'auteur est hélas inconnu.

    Cette adaptation special Coronavirus réunit des artistes internationaux parmi lesquels Stephan Eicher, Shania Twain et même Henri Dès !

    Un beau chant d'espoir !

     


    2 commentaires
  • Aujourd'hui je clos la rubrique Confinement même si nous sommes encore en liberté surveillée.
    Ouverte il y a 2 mois pour soutenir les copiNet de mon groupe graphique pendant le confinement, sa levée pour partielle qu'elle soit permet de recréer un lien social qui nous a fait défaut pendant cette période.

    Je souhaite ne jamais avoir à la réactiver.

    Pour clore ce chapitre, je laisse la parole à celui qui défendit tant de causes et qui, quoi qu'en disent ces détracteurs, nous a donné beaucoup.
    Qui mieux que Michael Jackson pouvait nous laisser cette lueur d'espoir pour que nous repensions un monde fait pour tous et pas seulement quelques privilégiés ?

    (clip chaîne officielle Michale Jackson)

     


    3 commentaires
  • On ne compte plus les scènes cultes des films de Louis de Funès mais il en est une qui aujourd'hui encore fait l'objet de flash mob, la cultissime "danse de Rabbi Jacob".

    Film franco italien tourné en 1973, Rabbi Jacob connaîtra le succès outre-atlantique et sera nommé au Golden Globe du meilleur film en langue étrangère en 1975.

    Louis de Funès y campe Victor Pivert, un industriel arriviste, raciste, xénophobe et antisémite qui se retrouve entraîné malgré lui dans une sombre histoire de terrorisme arabe (déjà ! mais à l'époque la France porte les stigmates de l'affaire ben Barka et l'OLP est encore une organisation terroriste internationale).
    Son chauffeur, dont Victor Pivert découvre avec stupéfaction qu'il est juif, l'aide à se planquer en lui faisant prendre la place de Rabbi Jacob qui doit arriver d'Israël.

    C'est ainsi qu'ils se retrouvent rue des Rosiers où les membres de la communauté juive demandent à celui qu'ils prennent pour Rabbi Jacob de dansee.
    Vêtu d'un manteau long noir, coiffé du caftan, et peyess au vent, tenue des juifs hassidiques, Victor Pivert/Rabbi Jacob se retrouve entraîné dans une danse endiablée à laquelle il s'adapte rapidement.

    La chorégraphie et la "formation" de Louis de Funès sont assurées par la compagnie Adama d'Ilan Zaoui, sollicité par Alexandre Arcady.
    Ce premier grand succès impose la compagnie Adama qui participera à de nombreuses comédies françaises.

    Et maintenant, Rabbi Jacob "el" va danser !

     

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique